samedi 30 juillet 2011

Une classe préparatoire aux grandes écoles et aux études universitaires s'ouvre aux Ulis


Une Classe préparatoire aux grandes écoles (CPGE) «Physique, chimie, sciences de l’ingénieur» issue d’un partenariat entre la Faculté des sciences de l’Université Paris-Sud et le lycée de l’Essouriau (Les Ulis), va ouvrir en septembre 2011. Ce cursus s’inscrit dans l’opération «les cordées de la réussite», un réseau de solidarité établi entre l’Université Paris-Sud et plusieurs lycées situés principalement en Essonne qui a pour objectif d’aider les élèves à s’engager dans la voie des études longues après le baccalauréat.

La classe préparatoire aux grandes écoles, qui ouvrira en septembre 2011, est la quatrième de ce type en Ile-de-France. Son but est de favoriser l’accès aux classes préparatoires à des bacheliers qui n’auraient pas été tentés par une CPGE «traditionnelle». Cette formation s’appuie sur le programme académique de haut niveau des CPGE, les compétences des professeurs de lycée et sur l’adossement à la recherche et l’environnement exceptionnel qu’offre l’enseignement à l’université.

Les effectifs de cette formation seront réduits (en comparaison des effectifs moyens d’une CPGE), et un système de tutorat sera mis en place, avec des étudiants de master et de doctorat de l’université et également grâce à des accords entre le lycée, l’université et l’Ecole Polytechnique. Les élèves bénéficieront ainsi d'un encadrement renforcé permettant de les aider à exploiter tout leur potentiel.

Les cours se dérouleront sur les deux établissements porteurs du projet : quatre jours au lycée de l’Essouriau et un jour à la Faculté des sciences de l’Université Paris-Sud. Ils seront assurés pour un tiers par des enseignants de l’université, le reste par des enseignants de lycée. Une ouverture vers le monde universitaire est privilégiée par un accès aux infrastructures de l’université (Bibliothèque, Restaurant universitaire, salles de TP de physique et de chimie, associations), des séminaires de vulgarisation et des visites de laboratoires en particulier dans le cadre des Travaux d'initiative personnelle encadrés (TIPE).

L’originalité de cette formation réside également dans l’offre des débouchés. L’intégration d’une partie de l’enseignement à l’Université Paris-Sud permet aux étudiants de découvrir l’offre de formation universitaire de Bac+1 à Bac+8. Après la première année, ils peuvent poursuivre leur cursus en classe préparatoire dans la même structure ou dans un autre lycée, ou encore intégrer une licence en deuxième année (L2). Après la seconde année, ils peuvent intégrer une école d’ingénieur sur concours, une licence scientifique en troisième année (L3) ou un magistère scientifique à l’université.

Universtité Paris-Sud 11

mercredi 20 juillet 2011

Elections sénatoriales : L’union de la Gauche et des écologistes pour gagner.

 Depuis 2004, les gouvernements successifs n’ont eu de cesse que d’étrangler les collectivités territoriales, rogner leur capacité à agir et tenter de retourner les citoyens contre elles.

Mais les Essonniens ne s’y sont pas trompés, tant à l’occasion des élections régionales que des élections cantonales ils ont montré qu’ils faisaient confiance à la gauche et aux écologistes rassemblés pour diriger la région Ile-de-France et le Département de l’Essonne. Cela a des conséquences quotidiennes importantes : en Essonne la solidarité se décline en politiques publiques innovantes, l’avenir est préparé par des investissements massifs dans l’éducation et la recherche, les transports feront l’objet d’un rattrapage important.

Ces victoires, ces politiques doivent trouver leur prolongement à l’occasion des élections sénatoriales du 25 septembre. La voix des collectivités, de leurs élus-es et des Essonniens-nes doit être portée avec force, au cœur de cette Assemblée. C’est la responsabilité des formations politiques de gauche et écologistes que de le permettre d’y contribuer.

C’est pourquoi les Fédérations du Parti Socialiste, du Parti Communiste Français et d’Europe Ecologie-Les Verts présenteront aux suffrages des grands électeurs une liste de rassemblement composée d’hommes et de femmes expérimentés, connaisseurs des réalités de notre Département mais aussi renouvelée. Elle sera conduite par Jean-Vincent Placé (EELV) Vice-Président de la Région Ile-de-France, Claire-Lise Campion (PS) Sénatrice de l’Essonne et Bernard Véra (PCF) Sénateur de l’Essonne.

Face à une droite morcelée et où les ambitions masculines s’alignent pour aller prêter main forte au gouvernement, la liste de rassemblement de la gauche et des écologistes défendra tout à la fois les collectivités et les habitants de l’Essonne tout en contribuant à la conquête, extrêmement difficile mais possible, du Sénat. Cette victoire sera un point d’appui important pour les échéances nationales de 2012 et la construction d’une alternative à N. Sarkozy et à sa politique régressive.

mardi 19 juillet 2011

Photovoltaïque : EELV soutient Mr Le Borgne, victime de la politique carbonée du gouvernement.

Franck Le Borgne fait une grève de la faim depuis une semaine et peut compter sur de nombreux soutiens, pas uniquement locaux. Un grand rassemblement est prévu, demain, mercredi 20 juillet.

Depuis sept jours maintenant, Franck Le Borgne, gérant de la société One Network Énergies, spécialisée dans des installations photovoltaïques, mène une grève de la faim pour obtenir le droit de raccorder sa centrale photovoltaïque de Saint-Allouestre au réseau ERDF (Électricité réseau distribution de France). Ce droit aurait dû lui être délivré avant le moratoire adopté en décembre dernier par le gouvernement, sur le tarif de rachat de l'électricité solaire photovoltaïque. Ce moratoire suspend l'obligation d'achat d'énergie renouvelable à un tarif prédéterminé qu'avait auparavant ERDF. Avec trois co-financeurs, FranckLe Borgne a tout de même investi 1.500.000 € pour ouvrir ce site de production électrique photovoltaïque de 3.000m², en accord avec ERDF.

Des soutiens politiques et professionnels

Depuis le lundi 11juillet, les soutiens se multiplient auprès de ce chef d'entreprise qui a fait le choix d'une solution radicale pour lancer «un cri aux pouvoirs publics». Ce week-end, des élus régionaux d'Europe Écologie - Les Verts sont venus lui porter une lettre de soutien signée d'Éva Joly, candidate à l'élection présidentielle. L'Union démocratique bretonne (UDB) a également exprimé sa solidarité envers le gréviste de la faim. André Picaut, maire de la commune, est aussi à ses côtés. «J'avais apporté mon soutien à la création de ce site. Aujourd'hui, je suis toujours solidaire et m'interroge sur la volonté de nos gouvernants à accompagner des projets qu'ils ont eux-mêmes souhaités lors de la mise en place du Grenelle de l'environnement», commente-t-il.

La RN 24 sera bloquée mercredi en soirée

Une vraie solidarité des professionnels du solaire à travers toute la France est également en train de naître. D'ailleurs, demain mercredi, un rassemblement, qui devrait réunir entre 2.000 et 4.000 personnes, est prévu.

mercredi 13 juillet 2011

Résultats de la Primaire de l'écologie


Eva Joly : 13223 voix, soit 58,16%
Nicolas Hulot : 9399 voix, soit 41,34%
bulletins blancs : 112, soit 0,49%
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    A l'issue du dépouillement du second tour de la Primaire de l'écologie, Eva Joly est désignée candidate pour l'élection présidentielle de 2012 afin de porter, devant les français, notre projet de reconversion écologique de notre société.

    Le groupe Europe Ecologie - Les Verts des Ulis félicite chaleureusement Eva Joly pour sa désignation et rend un vibrant hommage à la digne campagne faite par Nicolas Hulot, lors de ces primaires de l'écologie, et espère très fortement le voir parmi nous lors de la campagne présidentielle de 2012.

    Nous sommes donc tous unis, dès aujourd'hui, dans Europe Écologie – Les Verts  avec Eva Joly comme porte parole de notre projet alternatif, écologique, social et solidaire.

    vendredi 8 juillet 2011

    Sécurité : La Cour des Comptes dévoile la grande illusion

    Depuis 2002, la droite a basé sa communication sur son bilan en matière de sécurité. La Cour des comptes vient de démonter le mythe et montrer la faillite de sa politique : statistiques absurdes, efficacité discutable, baisse des effectifs constante depuis 2007, appauvrissement de la police et de la gendarmerie, développement sans cadre adapté des polices municipales et promotion aveugle de la vidéo-surveillance sans évaluation sérieuse. Ce n'est pas la lutte contre la délinquance qui s'est améliorée, c'est avant tout la communication du Ministère de l'Intérieur.

    Il faut mettre fin à une politique de sécurité idéologique et inefficace, où la prévention, la dissuasion et la réinsertion ont été délaissées au profit d'une politique basée uniquement sur la répression. Une autre politique de sécurité est possible.

    La France est le seul pays occidental à ne pas avoir mis en place de police territorialisée, le gouvernement doit enlever ses œillères concernant la police de proximité. Il faut dé-concentrer l'action de la police et de la gendarmerie et adapter les priorités en fonction des territoires. Les polices municipales doivent être mieux encadrées, leurs missions et armements restreints et leur formation améliorée.

    Enfin, Europe Ecologie les Verts demande un moratoire national sur la vidéo-surveillance de voie publique dans l'attente d'une grande étude indépendante sur cette technologie attentatoire aux libertés individuelles.

    Europe-Ecologie - Les Verts

    jeudi 7 juillet 2011

    Annecy : Place à un autre modèle pour la montagne

    Lyon, le 6 juillet 2011. – Avec l’élimination de la candidature d’Annecy aux Jeux olympiques d’hiver 2018, c’est toute une vision périmée du bétonnage de la montagne qui doit être retoquée.

    Le comité international olympique (CIO) vient de mettre un point final à la candidature d’Annecy aux Jeux olympiques d’hiver 2018.

    Point final à une dépense qui s’élève déjà à près de 30 millions d’euros, en grande partie d’origine publique, sans que rien ne se soit passé.

    Point final à l’absurdité d’un projet dont les retombées étaient impossibles à quantifier sinon par l’autosatisfaction d’une élite locale et nationale.

    Point final à un projet qui aurait fortement aggravé une pression foncière et immobilière dramatiquement ressentie par les agriculteurs et tous ceux qui font vivre la montagne loin des paillettes.

    Point final à un projet qui aurait aussi aggravé la ponction sur la ressource en eau, de plus en plus fragilisée en montagne par des canons à neige qui avalent 20 millions de mètres cubes chaque année en France.

    Point final à un projet grossièrement repeint en vert, mettant en avant le concept fumeux d’ « écostations » qui ne correspond à aucun cahier des charges, aucun engagement mesurable.

    Point final à une candidature autocratique qui a fait une impasse complète sur les demandes d’un de ses financeurs, le Conseil régional, assemblée élue qui conditionnait pourtant son engagement au classement de milieux naturels sensibles comme les Aravis, le Semnoz ou la plaine du Mont-Blanc.

    Point final à l’arrogance des porteurs de cette candidature, placés par le gouvernement, qui ont muselé l’opposition, répétant à qui voulait bien l’entendre que les Jeux Olympiques faisaient l’unanimité au plan local et régional, malgré les nombreuses manifestations à Annecy, l’opposition sans faille des militants Europe Ecologie - Les Verts et l’opposition constante des 37 élus écologistes au Conseil régional.

    « Nous sommes soulagés de cette décision, car si les Jeux avaient eu lieu à Annecy, ils se seraient traduits par une catastrophe économique et écologique qui aurait aggravé le bétonnage de la montagne. Nous avons une pensée pour les territoires de Corée du sud qui risquent de connaître ce sort, car le cahier des charges du CIO ne peut pas induire autre chose », affirme Claude Comet, conseillère spéciale (EELV) pour le tourisme et la montagne au conseil régional de Rhône-Alpes.

    Aujourd’hui, il est temps d’imaginer un autre avenir pour la montagne. « La montagne du XXIe siècle doit apprendre à faire face aux enjeux du changement climatique. Elle doit revoir son modèle d’aménagement qui est encore au service du tourisme de masse au détriment d’un développement cohérent du territoire. Cela exige un travail constructif et prospectif. Nous souhaitons aussi que les classements de réserves naturelles demandés par la Région soient maintenus. »

    Pour ce faire, sous l’impulsion de Claude Comet, le conseil régional de Rhône-Alpes lancera cet automne une mission de 15 mois sur une « Prospective Montagne 2040 ».

    EELV - Rhône-Alpes

    mercredi 6 juillet 2011

    Les Ulis... d'hier et pour demain

    30 ans avant les préceptes de villes durables (faible surface urbanisée, habitat vertical, mixité sociale, commerces à proximité, chauffage collectif, ville piétonne etc …), les architectes de la ville avaient déjà, en grande partie, imaginé ce que devait être une ville à visage humain, même si aujourd’hui il faut bien le reconnaitre qu’elle est, aussi, l’exemple type de cet étalement urbain que nous condamnons et contre lequel nous luttons. Mais force est de constater que la ville est là, maintenant, et qu’avec ses habitants, cette petite communauté d’environ 25000 âmes, elle porte comme un sentiment de réussite, qui pousse les personnes qui s’y installent à y rester. A n’en pas douter cette ville est attachante.

    SAMBOE par mag-lesulis

    Alors certes, à l’heure des nouveaux défis environnementaux, climatiques et énergétiques qui s’ouvrent devant nous, notre ville n’est pas complètement préparée à relever le challenge, même si elle possède beaucoup d’atouts. Il lui faut donc, via la volonté et l’audace de ses élus, entrer dans l’âge de la sobriété énergétique joyeuse, de l’autonomie alimentaire, du vivre ensemble toujours plus affirmé ou bien encore de la vie décarbonée. Il lui faut rentrer dans l’ère de l’imagination et de l’alternative propre en prenant les décisions qui s’imposent afin d’offrir, encore et toujours, à nos concitoyens une vie encore plus confortable, saine et sereine.

    C’est ce que tente de faire, aujourd’hui, la majorité municipale, emmenée par Maud Olivier et les élus écologistes de la ville.

    Pour se faire, notre agenda 21 territorial et municipal, adossé au bilan carbone de notre ville, va être lancé en 2012 après 3 ans de préparation. Cet agenda 21 nous l’avons voulu ambitieux et partagé avec tous les acteurs de la ville qui, sans eux, rien n'est possible. Les défis environnementaux, climatiques et énergétique qui vont arriver, dans la petite dizaine d’années, doivent nous interroger, nous écologistes et toute la Gauche réunie, sur la durabilité de notre ville, voilà pourquoi nous ne nous limitons pas au seul agenda 21 mais que nous agissons partout et en permanence afin de faire changer les pratiques anciennes et faire entrer, dans tous les domaines de compétences de la ville, les notions de bio, de local, de recyclage, de recyclabilité, de végétalisation, de biodiversité, d’économies d’énergie, de limitation des émissions de Gaz à Effet de Serre, de constructions bois, de renouvelable, d’éducation, etc … la tâche est ardue mais exaltante car s’inscrivant dans une philosophie globale qui tend à proposer d’améliorer la vie de nos concitoyens sans hypothéquer celle des générations futures.

    Longue vie aux Ulis, ville tant aimée.

    Bruno BOMBLED

    Les Ulis bientôt dans la CAPS

    Dans le cadre du projet de schéma départemental de coopération intercommunale ce lundi 4 juillet, le Préfet de l’Essonne a proposé que la ville des Ulis intègre le périmètre de la CAPS. C’est l’aboutissement d’un long processus illustrant la position constante de la ville des Ulis en matière d’intercommunalité depuis plusieurs années.

    Après délibérations de la commune, du Conseil Communautaire, des communes membres de la CAPS validant l’élargissement de la communauté d’agglomération aux Ulis, plus aucun obstacle a priori ne s’opposait à cette intégration.

    Mais malgré un processus abouti, les Préfets précédents n’avaient pas entériné cette demande. Une décision d’autant plus incompréhensible puisque celle-ci officialisait une réalité tangible du bassin de vie et reconnaissait le rôle des Ulis au sein de ce territoire porteur de tant de perspectives d’avenir avec des enjeux de développement majeurs.

    Les réactions avaient été nombreuses pour dénoncer le non-respect d’une décision démocratique. Quels peuvent être les rôles des élus s’ils ne peuvent décider eux-mêmes de l’avenir de leurs communes ?

    mardi 5 juillet 2011

    Rassemblement le 10 juillet, pour la protection des terres agricole du plateau de Saclay


    Dimanche 10 juillet se tiendra un pique-nique militant et festif à Guyancourt, Yvelines

    Depuis 2005, l’Etat tente d'urbaniser le plateau de Saclay. Grâce à l'action des habitants, des associations et des élus, jusqu'à ce jour la préservation d'au moins 2300 hectares de terres agricoles devait être garantie .

    Mais l'Etat vient d'annoncer ses projets d'urbanisation sur le plateau de Saclay qui sont loin de respecter les 2300 hectares minimum et la viabilité économique de l'agriculture du Plateau de Saclay.

    Ici Saclay, là le triangle de Gonesse dans le Val d'Oise, là encore les hectares promis au village nature en Seine et Marne, etc.

    Le Grand Paris considère la zone rurale comme reserve foncière, gaspille les terres agricoles au profit de clusters , de centres commerciaux et de projets accroissant les inégalités territoriales.

    Défendre les terres agricoles sur le plateau de Saclay, c'est dire non au grand Paris !

    Nous vous invitons à un rassemblement festif, dimanche 10 juillet, pique-nique à partir de 12 h30

    Merci d’avance à toutes et tous de votre soutien par votre présence nombreuse.

    (Suivre le fléchage piéton à partir du Rond-point des Frères Perret à Guyancourt ou de l’avenue du Golf-hameau de Villaroy).

    Ring et la liaison Massy-Les Ulis enfin lancée !

    Ce sera une première en Ile-de-France. Un bus sur autoroute en Ile-de-France sans les embouteillages? Ça ne s’est encore jamais vu. Mais le futur transport en commun en site propre, qui reliera Massy-Les Ulis en desservant la zone de Courtabeuf et le cœur de ville des Ulis, pourrait inaugurer ce nouveau type de bus express. 

    Car le projet est en bon avancement grâce à la mobilisation conjointe des élu/es écologistes des Ulis, et notamment Jean-Vincent Placé, vice-président de la Région aux transports, de Jérôme Guedj (PS), président du Conseil général et de Maud Olivier (PS), maire des Ulis, le projet a maintenant bouclé son financement et les crédits d’études (1,8 millions d’euros) seront votés à la Région début juillet.

    Les crédits de travaux suivront, à hauteur de 13,5 millions d’euros pour la Région , 13 millions d’euros pour l’Etat et 9,7 millions pour le Conseil général. Cette opération nécessitait auparavant de résoudre un point noir de congestion : le “fameux” ring des Ulis. Ce sera chose faite, il a été intégré au projet. 

    Les Ulis attendaient depuis plusieurs années des projets de cette envergure, en matière de transports. Ce sont désormais de nouvelles perspectives de mobilité et de développement qui s’ouvrent pour notre ville.

    Bon été à tous et à toutes

    Etienne Charron (président), Patrick Aubert, Bruno Bombled, Hasnaa Eraiss, Jean-Vincent Placé.