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mercredi 13 février 2013

Mariage pour tou-te-s : un vote historique



Douze ans après les Pays-Bas, sept ans après l’Afrique du Sud, la France a enfin traduit, dans la loi, l’égalité de tou-te-s devant le mariage, en l’ouvrant aux couples de même sexe et cela avec 329 pour, 229 contre et 10 abstentions. C'est avec fierté que nous relevons que les écologiste d'EELV sont les seuls à avoir voté unanimement pour la mariage pour tous. Parité et Unité sont aux rendez-vous des valeurs écologistes. Bravo les écolos !!!! La loi sera examinée à partir du 2 avril au Sénat.

N’en déplaise aux conservateurs homophobes qui se sont donnés en spectacle assez lamentablement au cours des dernières semaines, ce moment historique n’entrainera pas de crise anthropologique dans notre pays.

Le vote de cette loi est un moment politique particulièrement émouvant pour les écologistes. Ce sont eux qui les premiers se sont mobilisés pour ce combat – nous nous souvenons du mariage organisé à Bègles il y a plus de 10 ans -, en dépit des résistances parfois violentes et empreintes de bêtise. Notamment celles de certaines personnalités de premier plan auxquelles il aura fallu de nombreuses années pour évoluer sur la question.

Cette avancée ne doit pas nous faire oublier que le chemin de l’égalité pour les personnes LGBT n’est pas encore tout à fait terminé. Egalité devant la loi, avec par exemple la question de l’adoption pour toutes et tous ou de la procréation médicalement assistée. Mais aussi égalité dans les faits. Les récentes manifestations ont illustré combien une homophobie prégnante demeure chez certains et combien de nombreuses personnes en souffrent au quotidien. Il n’est que temps d’ouvrir ces nouveaux chantiers

lundi 23 janvier 2012

L'Orientation Budgétaire aux Ulis vue par ses écologistes.

Déclaration des élus Europe Ecologie - les verts des Ulis lors du Débat d'Orientation Budgétaire au Conseil Municipal

Nous nous félicitons que le DOB intègre l'optimisation de l'utilisation et de la consommation d'énergie. Nous pensons qu'il faut encore aller plus loin, que l'on doit travailler sur la nécessaire urgence de devenir sobre et décroissant, notamment sur nos consommations de fournitures, de trouver des alternatives, de parler de la DSP chauffage, de l’augmentation du coût de l’énergie qui ne fera que s’accélérer entraînant des difficultés d’approvisionnement, de déplacement, de chauffage,... La crise banquière accélère et amplifie les phénomènes.

Au vu des déclarations mouvantes, hétéroclites et parfois hasardeuses des responsables politiques sur ce sujet, nous nous devons d'envisager des baisses substantielles des ressources municipales, et plus grave encore, une difficulté grandissante pour les populations ulissiennes. Nous devons préparer les services à la possibilité d'une baisse de leur budget dans les année à venir. Nous devons nous préparer à répondre à une grande faiblesse d'une part de nos concitoyen.

Nous pensons qu'il y a une opportunité à utiliser la démocratie participative que sous la tutelle de Sonia Dahou, la ville a mis en place, afin de réfléchir et impulser des actions mutualisées avec les acteurs nouveaux de la ville que sont l'ensemble des conseils.

EELV Les Ulis défend avant tout la maitrise de nos consommations, qu'il faut orienter l'investissement, à l'instar de la rénovation du centre ville, sur des projets qui permettront une réduction des coûts énergétique accentuer l'effort sur l'isolation, et aussi sur des projets permettant de faciliter la réponse aux citoyens.

Nous proposons de reconsidérer notre manière de penser l'utilisation de nos ressources, environnementales, sociales, humaines, économique sur la ville des Ulis.
Le Conseil des Jeunes travaille sur une foire aux stages ulissiens. Les jeunes nous montrent l'exemple, nous disent leurs besoins, aidons les !

Reconsidérons les relations entre la ville et la zone d'activité, insufflons à la CAPS une nouvelle manière plus sobre de fonctionner.

Fonctionnons autrement, avec la participation des ulissiens, fonctionnons mieux.

Si la ville des ULIS est riche, la ville des ulissiens est pour partie pauvre. Nous affirmons qu'un effort sur la refondation de l'accompagnement des jeunes à l'indépendance, qu'un effort sur la diminution de notre impact écologique par une baisse des consommations énergétiques,qu'un effort sur la nécessité absolue de faire participer les gens au maximum aux réflexions et décisions car c'est en travaillant ensemble qu'on apprend sont les priorités que nous devons intégrer dans nos politiques sur les Ulis.

Europe Ecologie Les Verts - Les Ulis

mercredi 1 juin 2011

Hulot : Saclay 31 mai 2011

Vous trouverez ci-dessous un rapide retour sur le déplacement de N Hulot dans le cadre des primaires de l'écologie :

Nicolas a fait un beau parcours sur le Plateau de Saclay. Arrivée vers 15h15 à l'entrée de la fac d'Orsay. Il a été accueilli par des représentants du collectif des chercheurs (dont Laurent Audouin) s'opposant au déménagement de la fac et en présence de Jean-Vincent Placé qui avait tenu à faire le déplacement. Il y a eu plusieurs échanges à propos de l'avenir de la recherche et de la loi LRU. La visite de la fac s'est faite uniquement à pieds et à l'extérieur des locaux. Nicolas a très longuement échangé avec des étudiants devant l'un des principaux bâtiments de l'université. Ils ont discuté de débouchés et de l'avenir des filières centrées sur l'environnement, mais aussi des enjeux de la sortie du nucléaire.

La deuxième étape se déroulait au Domaine de Quincampoix à l'invitation d'une série d'associations regroupant des Amap ou des collectifs d'agriculteurs bio ou orientés agriculture raisonnée. On doit cette belle rencontre à notre Colette nationale. Il y avait environ 70 personnes dans la salle, dont Anny Poursinoff, députée EELV des Yvelines, Laurence Bonzani, conseillère régionale, et différentes personnalités locales. L'échange a été très riche et toujours convivial. L'un des animateurs proposant même d'établir le QG de la campagne à Quincampoix...

La troisième étape s'est déroulée à Saclay dans la salle de la mairie avec des militants/tes, coopérateurs/trics et proches venant principalement du 91, du 78 mais aussi du 77. Il y avait 94 personnes, dont le maire de Saclay, et 3 conseillers régionaux, sans compter les journalistes. Après une introduction pour Nicolas, différentes questions et échanges ont eu lieu montrant l’intérêt pour la candidature de NH et le désir d'échanger avec lui. La réunion s'est terminée sous les applaudissements vers 21h45.

Côté presse : présence de canal et du Monde durant tout le déplacement, de l'AFP, de l'Obs, d'Europe 1 et de Match. Plus l'édition Essonne du Parisien, du site Boocan et du Républicain

samedi 28 mai 2011

Cécile Duflot : " Les écologistes sont aujourd'hui les héritiers du projet de gauche "

Avant le congrès d'Europe Ecologie-Les Verts, début juin, la secrétaire nationale explique comment le parti doit peser sur la gauche

Six mois après la création d'Europe Écologie - Les Verts, les écologistes tiennent leur premier congrès, qui voit Daniel Cohn-Bendit contester la légitimité et le fonctionnement de la secrétaire nationale, Cécile Duflot. Les militants doivent se retrouver pour élire leur direction les 3 et 4 juin à La Rochelle. Deux jours plus tard, le 6 juin, s'ouvrira la primaire qui doit départager Eva Joly et Nicolas Hulot. Un premier débat doit avoir lieu à Toulouse.

Cécile Duflot défend son bilan, revient sur la situation de la gauche et son souhait de voir les écologistes peser sur un futur contrat de gouvernement avec les socialistes.

Le retrait de Dominique Strauss-Kahn change-t-il la donne pour les écologistes ?

Quoi qu'il arrive, je défends une candidature des écologistes. Elle est nécessaire pour défendre notre projet. L'enjeu, c'est comment l'écologie peut revivifier le projet de transformation sociale du XXIe siècle dans un nouveau tandem entre le PS et les écologistes.
On voit à quel point les ressorts sociaux-démocrates sont fatigués, même si le PS reste le parti dominant à gauche du fait d'un système électoral qui reproduit le paysage politique classique. Sur les caractéristiques des différents candidats socialistes, j'ai essayé d'en dire le moins possible, car ce n'est pas le rôle de la secrétaire nationale d'Europe Ecologie - Les Verts. Mais comme je ne suis pas d'un bloc, j'avais exprimé un sentiment de décalage avec la fonction de DSK.

Vous aviez dit que cela vous " chiffonnait le nez "...

C'était une formule spontanée pour évoquer la situation d'un directeur du Fonds monétaire international " candidat du Parti socialiste ". Il y a une interrogation pour les sociaux-démocrates : jusqu'à quel point leur fascination ou leur complaisance pour les règles libérales qui se sont imposées au monde ont conduit à un affadissement de leur projet et résonnent comme une forme d'échec.

Je pense qu'aujourd'hui les héritiers du projet de gauche, ceux qui portent l'idée de transformation sociale, ce sont les écologistes. Nous sommes ceux qui voulons revivifier la volonté politique, qui refusons de subir en acceptant de se cantonner aux accommodements du système, et qui voulons construire un nouveau modèle.
Cette absence à gauche de volonté politique transformatrice, ce refus d'imaginer un autre partage des richesses expliquent largement l'échec de la gauche européenne. On le voit aujourd'hui en Espagne : le rejet absolu de tous les politiques devrait interroger le PS. Il faut, pour certains, retrouver un lien avec la réalité de la vie de millions de personnes.

Une semaine après les faits, quel regard portez-vous sur l'" affaire DSK " ?

Dès le dimanche soir, j'ai dit qu'il fallait la justice pour la jeune femme et la justice pour l'homme. Qu'il n'y avait ni de précautions supplémentaires à prendre, du fait de la personnalité du mis en cause, ni de généralisation à faire sur les hommes politiques. Depuis on est passé à une affaire politique qui a agi comme un révélateur de la confusion qui règne entre ce qui relève d'une relation entre des adultes consentants et les actes de violence faits aux femmes.

Je ne me place pas sur le terrain de la morale. Je ne fais pas partie des gens qui pensent que la fidélité conjugale est une exigence pour un responsable politique. C'est du domaine privé. Mais on a assisté à une dérive toute française : la tolérance, pour certains, face aux violences sexistes, dont le viol, le harcèlement, les remarques insistantes sur le physique... Cela suscite un gros malaise.

Est-ce une critique envers vos partenaires politiques ?

Ça me pose problème de voir qu'en 2011 ce sont d'abord les femmes qui se mobilisent contre cette tolérance insupportable. J'aurais aimé l'entendre de la bouche d'hommes politiques. L'égalité et le respect ne devraient pas être des questions dont seules les féministes se chargent. Depuis leur naissance, les écologistes ont pris à coeur la question du droit des femmes. Ce ne sont pas les conservateurs qui vont en être porteurs. La gauche a plus de devoirs sur cette question que d'autres, et quand elle ne s'exprime pas, sa parole manque d'avantage.

Le courant a l'air de mieux passer avec Martine Aubry qu'avec d'autres dirigeants socialistes ...

Nous avons une lucidité commune sur l'urgence pour la gauche et les écologistes de faire battre Nicolas Sarkozy. Pour bâtir la confiance, la dimension humaine est importante. C'est vrai que Martine Aubry a compris qu'il ne fallait pas tenir les écologistes en suggestion ou dans le mépris. On a entre nous des discussions de fond, avec la volonté d'entrer dans la réalité de ce qu'on doit faire et comment.
Un exemple : Martine Aubry a dit qu'elle voulait organiser la sortie du nucléaire. Puis Laurence Rossignol, chargée des questions d'environnement, est venue aux Etats généraux du nucléaire samedi 21 mai, en disant : " Il faut qu'on travaille sur de vrais scénarios, pas seulement un accord de formule. " C'est comme ça que nous devons travailler pour faire la démonstration de notre volonté politique de transformation.

Revendiquez-vous une autre forme de partenariat avec les socialistes ?

Si on est juste là pour organiser l'alternance et engendrer, à nouveau, la désespérance, nous n'aurons servi à rien. Il faut qu'on ait une autre ambition que la gauche plurielle. Je suis d'une génération totalement décomplexée à l'égard des socialistes : ni sentiment d'infériorité ni posture de guéguerre. Je veux juste qu'on discute d'égal à égal pour aboutir à un contrat qui dise : " Voilà ce qu'on va faire ensemble durant cinq ans. "
Quand je dis qu'il ne peut pas y avoir d'écologistes dans un gouvernement qui n'organise pas la sortie du nucléaire, c'est un point incontournable, parce qu'il est emblématique d'un changement d'état d'esprit que nous voulons.

Comme au PS, vous organisez un congrès, puis une primaire. N'est-ce pas un double risque de division ?

C'est vrai qu'on assiste déjà, à mon grand regret, à des tensions. Notre congrès, comme la primaire, c'est une sorte de crash-test. Depuis un an, on s'est doté d'un calendrier de travail apparemment délirant : création d'une nouvelle organisation en novembre 2010, premier congrès en mai, et primaire ouverte en juin. Il fallait qu'on sorte de notre ancien fonctionnement et de son ronron. On l'a fait avec la naissance d'Europe Ecologie. Aujourd'hui, si on veut être à la hauteur des enjeux d'une campagne qui va être particulièrement difficile, chacun doit faire preuve de responsabilité, dirigeants comme militants.

Pensez-vous être réélue secrétaire nationale ?

Je ne sais pas. Il y a plusieurs candidatures, et le nombre d'adhérents a doublé depuis 2008. C'est donc difficile d'évaluer le soutien que les adhérents vont m'apporter ou pas. Si mon équipe n'arrive pas en tête du vote des militants, je ne serai pas candidate à ma succession. Je regrette que notre congrès n'ait pas porté sur un débat stratégique, puisque Daniel Cohn-Bendit a défendu l'idée d'un soutien des écologistes à DSK, comme il l'a plusieurs fois répété à l'extérieur. Du coup, la différence entre sa motion et la mienne n'apparaît pas clairement. J'aurais préféré cela à un débat focalisé sur l'organisation du parti.

La primaire entre Eva Joly et Nicolas Hulot va, elle aussi, conduire à des tensions...

Pas forcément. La primaire peut constituer une nouvelle étape du rassemblement. Chacun doit avoir conscience qu'on ne peut pas redescendre au niveau des propos de maternelle qui font perdre de la crédibilité à tout le monde. Les adhérents et ceux qui participeront à la primaire ne viendront pas pour assister à ce genre de jeu.

Après avoir vu les expériences du MoDem et du NPA, mon obsession, c'est que les écologistes construisent dans la durée. Pas seulement pour bouger les lignes, mais pour gagner la majorité et conquérir le pouvoir.

Propos recueillis par Sylvia Zappi
© Le Monde
27/05/11

lundi 9 mai 2011

Histoire : 1979 premières alertes sur le changement climatique


Les dossiers de l'écran
A2 - 04/09/1979

Haroun TAZIEFF répond aux questions des téléspectateurs qui s'inquiètent du risque de réchauffement climatique. Tazieff, qui se fait, là, le porte parole des études qui se poursuivaient à l'époque dans nombres de laboratoires dans le monde, avait déjà perçu ce que nous vivrions aujourd'hui. Cette vidéo démontre comment les certitudes scientifiques ne viennent pas unanimement dans la réflexion de la communauté scientifique, mais comment il faut qu'elles se confrontent entre scientifiques afin de s'étoffer, de se bonifier, afin de devenir plausibles puis solides pour entrainer, in fine, le consensus.

vendredi 28 janvier 2011

EELV ne jouera pas le rôle de Potiche

La secrétaire générale d'Europe Écologie Les Verts (EELV) et présidente du groupe écologiste à la Région a quitté avec éclat une commission du conseil régional d'Île-de-France. Elle s'estime «trahie» par l'accord État/Région sur le Grand Paris.

Lors de la commission permanente du conseil régional d'Île-de-France jeudi 27 janvier, notre secrétaire générale, Cécile Duflot, présidente du groupe écologiste à la Région, a tapé le poing sur la table pour manifester son grand mécontentement d'avoir été court-circuitée par le président de région,  Jean-Paul Huchon. Prenant la parole en tout début de séance, elle a dit avoir appris l'accord État/Région «par la presse». De ce fait, se sentant «trahie», elle a jugé que la majorité «n'est plus une majorité». S'adressant au président, elle lui reproche d'avoir annoncé «sans le soutien de sa majorité, un accord avec le gouvernement sur le réseau de transport du Grand Paris. Cet accord va à l'encontre de l'avis voté par le conseil régional le 16 décembre 2010 et des engagements de campagne que nous avons chacun pris. Il n'est, en l'état, pas possible pour notre groupe, sans échanges approfondis avec l'ensemble des élus de la majorité, de poursuivre ainsi le travail en commun».

Elle a demandé «une réunion d'urgence» et a affirmé qu'elle ne siégerait pas ce jour. Elle s'est levée et a quitté la séance en compagnie de la dizaine d'élus de son groupe présents à cette réunion. D'autres élus (excepté le Président du groupe Front de gauche, Gabriel Massou qui a souhaité rester dans la salle pour manifester son soutien à Jean-Paul Huchon) de la gauche de la gauche menés par Pascale Le Néouannic, du Parti de Gauche se sont levés à la suite de Cécile Duflot. Pour l'élue du parti de Jean-Luc Mélenchon, «Jean-Paul Huchon, en signant ce protocole, a bafoué l'expression politique de l'Assemblée régionale qui s'était exprimée le 16 décembre sur les conditions d'une concertation». «C'est non seulement un renoncement mais aussi et surtout l'expression d'un mépris donné par le gouvernement, avec l'aval de Jean-Paul Huchon, aux Franciliens et leurs associations quant au respect des règles démocratiques», juge-t-elle, «alors même que les débats publics continuent et qu'une partie importante de la majorité est en désaccord».

Qu'on se le dise, où qu'ils soient les élus et les militants d'Europe Écologie-Les Verts ne joueront pas le rôle de potiches aux cotés de leurs partenaires.

Source : Le figaro.fr

mercredi 12 janvier 2011

Invitation Samedi 15 Janvier 2011

Pour fêter ensemble la nouvelle année,
les adhérents et coopérateurs d'EUROPE ECOLOGIE-LES VERTS
sont invités aux vœux d'EUROPE ECOLOGIE-LES VERTS 91

SAMEDI 15 JANVIER
à partir de 18h,
à la Maison du Parc,
Parc de la Mairie à
Gif-sur-Yvette.

Parking allée du Parc , autour du marché.

Cette cérémonie des vœux sera suivie, à 20h30 d'une réunion publique
" Grand Paris : quelles répercussions sur notre territoire ?"


Nous vous espérons nombreux et comptons sur vous pour transmettre à vos réseaux, à vos relations, à vos ami-e-s, à tou-te-s, l'annonce de cette réunion publique.

A samedi